Malgré l’absence de Sonko, l’audience d’hier a eu les allures d’un film pour adulte. L’érotisme a pris le dessus avec des propos salaces et obscènes. Racontant sa version des faits, la partie civile, Mlle Adji Sarr, est revenue en détail sur ses «séances de massage» avec son prétendu bourreau dans une vulgarité, un manque de pudeur… sans commune mesure.