ACTE DE L’UNION POUR LA MÉDITERRANÉE : La société civile plaide l’implication du Sénégal  

Souvent perçue comme une stratégie de survie, la migration prend une importance cruciale dans un contexte mondial caractérisé par d’importants changements dans les politiques mobilités internationales. Les individus, confrontés à des défis économiques, politiques, ou climatiques, voient dans la migration une possibilité de garantir leur subsistance et celle de leur famille, les politiques migratoires évoluent face à cette réalité, oscillant entre l’ouverture et la fermeture des frontières, laissant place à des débats complexes sur la sécurité, l’économie et les droits de l’homme. C’est pourquoi les acteurs de la société civile de l’association internationale Otra Africa demande à l’Etat du Sénégal de se déployer pour intégrer les pays du pacte de l’union pour la méditerranée. Lequel pacte réunit les pays de la méditerranée. C’est ce qui est ressorti, hier, un atelier international sur la migration internationale sur le thème « les nouvelles lois en matière d’immigration et les procédures administratives de régularisation en Europe ».  Président de l’Ong Otra Africa, Souleymane Aliou Diallo,«Les migrants, souvent animés par le désir d’une vie meilleure, sont confrontés à des obstacles croissants en raison des restrictions de plus en plus strictes.