Le porte-parole de l’armée de République démocratique du Congo a affirmé que plusieurs Américains dont « deux blancs », et un Congolais « naturalisé britannique », figuraient parmi les auteurs de la tentative de putsch déjouée dimanche matin à Kinshasa. Une quarantaine d’assaillants ont été arrêtés tandis que quatre autres, dont leur chef, « un certain Christian Malanga, un Congolais naturalisé américain », ont été « neutralisés définitivement » (tués) par les forces de sécurité, a précisé dans la soirée à la télévision nationale le général Sylvain Ekenge, porte-parole des Forces armées de RDC (FARDC). Les assaillants, qui s’en sont pris au domicile d’un ministre et au « palais de la Nation », qui abrite des bureaux du président Félix Tshisekedi, sont « de plusieurs nationalités », a expliqué le porte-parole.