La 3e édition du tremplin Start-up UEMOA 2024 a été célébrée hier à Dakar autour du thème : « Marketing créatif et digital au sein des industries culturelles et créatives ».
Par Adji Ousseynou DIOP DIALLO
Serigne Mboup, président de l’Union nationale des chambres de commerce d’industrie et d’agriculture du Sénégal (Unccias) a présidé la 3e édition Start-up UEMOA ce lundi 23 décembre 2024. Pour cette édition, 4 personnes ont été primées grâce à l’innovation de leurs start-ups.
Lors de la cérémonie, il a déclaré qu’« Après deux éditions marquées par les conférences successives en 2020 et suivies en 2023 d’un renforcement de la capacité d’état productif des deux éditions précédentes, nous avons l’honneur de célébrer aujourd’hui la troisième édition de ce concours placé sous le thème de marketing. C’est-à-dire le concours de marketing créatif et digital au sein des industries culturelles et créatives ». Selon lui, cette amitié en parfaite adéquation avec les enjeux de cette période rappelle l’importance cruciale de l’innovation et du digital dans le développement des industries culturelles et créatives.
Pour le maire de Kaolack, le secteur stratégique pour la sous-région représente non seulement une source inépuisable de création d’emploi, mais aussi une véritable opportunité pour se positionner comme partenaire international du supermarché mondial. « Nous exprimons une fierté immense envers l’Etat comme le président. Nous remarquons leur audace et leur créativité qui intègrent brillamment l’avenir pour le secteur privé de notre pays.
À travers des projets visionnaires, véritables catalyseurs aux transformations, elles démontrent la capacité exceptionnelle de nos jeunes à développer, à rêver et d’éduquer le monde. C’est le temps d’une jeunesse qui, avec des idées innovatrices et audacieuses, transforme l’université, l’économie et l’espace monétaire », a-t-il souligné.
Dans ce sens, le président de Unccias appelle toutes les structures nationales à intensifier leurs efforts pour accompagner ces secteurs et renforcer leurs capacités. Selon lui, Il est impératif qu’ils aillent au-delà de la reconnaissance de ces projets en soutenant leurs croissances, en offrant des formations adaptées, en soutenant les techniques financières et en facilitant l’accès à des réseaux de partenaires et de nouveaux marchés.
« Notre point de vue peut, grâce à l’essor des marques créatives et digitales, S’occuper de la recherche de nos industries culturelles et créatives, les start-ups de notre région pour emporter l’ancien, pour imposer ce dessin », dixit Serigne Mboup.
D’après Moussa Souané, cette 3e édition du concours relève une dimension à la fois nationale et légionnaire. Et ce tiens soumise à l’évent dans les 8 étapes qui marquent le 8 mois. Le Burkina Faso, la Guinée-Bissau le Mali, le Niger et le Togo, le Sénégal et le Togo… « Cette année, l’assaut a été mis sur des industries culturelles et créatives. C’est ce qu’il faut faire pour la richesse et la diversité de nos publics. Les domaines concernés et nos publics et, décidément, la musique, les arts muséaux, la cuisine, et bien d’autres encore » ; a-t-il fait savoir.