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CHEIKH YERIM SECK PLACE EN GARDE A VUE : La CAP et RSF exigent sa libération et le respect de la liberté d’expression !

amina by amina
octobre 3, 2024
in A LA UNE, Actualités, Justice
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CHEIKH YERIM SECK PLACE EN GARDE A VUE : La CAP et RSF exigent sa libération et le respect de la liberté d’expression !
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L’arrestation de Cheikh Yérim Seck pour avoir démenti les déclarations du Premier Ministre Ousmane Sonko fait grincer des dents au niveau des organisations de défense de la Liberté d’expression. La Cap, ainsi que Reporters Sans Frontières sont montés au créneau pour exiger sa libération immédiate.

Par A.O.D DIALLO

Les organisations de défense des professionnels des médias se mobilisent pour la libération du journaliste Cheikh Yérim Seck. Repoter sans frontière et la CAP ont haussé le ton pour dénoncer son arrestation.

En effet, dans un message posté sur X hier, Reporter sans frontières (Rsf) réclame la libération de l’ancien journaliste du Magazine Jeune Afrique Cheikh Yérim Seck. « Le journaliste Cheikh Yérim Seck est placé en garde à vue pour avoir contredit, dans une émission TV, des chiffres économiques donnés par le Premier Ministre Ousmane Sonko. Rsf demande sa libération », lit-on dans le post. Pour Reporters Sans Frontières, « aucun journaliste ne doit être privé de liberté pour avoir exercé son métier ».

Embouchant la même trompette, la Coordination des associations de presse (Cap) s’est fendue d’un communiqué ce mercredi pour dénoncer une atteinte à la liberté. La Cap, à l’instar de RSF exige la libération de Cheikh Yérim Seck. « La Coordination des Associations de Presse (Cap) a appris, ce mardi, la convocation, l’audition puis la mise en position de garde à vue du journaliste Cheikh Yérim Seck qui est poursuivi, selon plusieurs médias, pour diffusion de fausses nouvelles et diffamation.

L’audition du mis en cause a porté sur sa dernière émission à la 7 TV au cours de laquelle il a affirmé ne pas croire aux chiffres énoncés par le Gouvernement concernant la situation économique héritée de l’ancienne gestion », lit-on dans le communiqué de la Cap.

A en croire la coordination des Associations de presse, le journaliste a confirmé ses propos étayés par les chiffres publiés sur le site du ministère des finances du Sénégal et par le fait que, selon lui, « si le Sénégal a pu lever des fonds sur le marché de l’Uemoa, c’est parce qu’il respecte les critères de convergence, sur la dette et le déficit budgétaire ».

Toujours selon le communiqué, la Cap rappelle que le Sénégal est un État de droit et qu’en conséquence, les Libertés de presse et d’expression y sont consacrées par sa Charte Fondamentale. Par conséquent, elle appelle à la libération du journaliste Cheikh Yerim Seck qui, selon elle, est libre d’user de son doit à une libre expression.

La Cap considère également qu’en l’absence d’une certification par la Cour des Comptes des chiffres annoncés par le gouvernement, tout citoyen est libre de se saisir du sujet et d’en faire les commentaires qu’il souhaite, dans le strict respect de la Loi.

La Cap en appelle, de ce fait, au sens élevé de la responsabilité des autorités judiciaires, y compris celles en charge des poursuites, face au respect des principes sacro-saints énumérés et protégés par la Constitution de la République du Sénégal, siège de leur pouvoir.

La Cap a profité de l’occasion pour évoquer la situation des entreprises de presse. Elle regrette le non-respect des engagements pris par le Ministre des Finances et du Budget, lors de la rencontre du 13 septembre 2024, « engagements qui étaient censés détendre les relations heurtées entre les patrons de presse et les nouvelles autorités, relativement au blocage des comptes bancaires et à la suspension des conventions commerciales ».

Pour finir, la Cap en appelle à la préservation d’un espace public où le débat doit être contradictoire et argumenté et ou les entreprises de presse peuvent évoluer en toute sérénité.

 

Tags: CapCheikh Yerim Seckgarde à vueJeune AfriqueLIBERTE D’EXPRESSIONministre des Finances et du Budgetousmane sonkoPremier ministreReporters sans frontièresRSFUemoa
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