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IMPACT ENVIRONNEMENTAL : 1 085 ha réhabilités et prêts et à être restitués à l’État par Gco SA 

amina by amina
avril 17, 2025
in Actualités, Société
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IMPACT ENVIRONNEMENTAL : 1 085 ha réhabilités et prêts et à être restitués à l’État par Gco SA 
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Dans le cadre de la préservation de la biodiversité dans les zones minières de Diogo et de Lompoul, où Eramet Grande Côte (Gco) extrait le sable de dune pour en ressortir quatre produits dont le zircon, il est important de réhabiliter les terres avant de les rendre à L’État. C’est pourquoi, la société minière a déjà restitué 85 ha et 1 000 autres sont prêts à être restitués à l’État du Sénégal. 

 Par Idrissa NIASSY

 Tout ce que nous avons entendu sur l’exploitation minière de Diogo et de Lompoul par Eramet Grande Côte SA (Gco) pour l’extraction du sable de dune permettant de ressortir des produits dont le zircon qui est le plus connu des Sénégalais, n’est qu’illusion. Qu’elle utilise des produits chimiques pour le traitement des sables minéralisés, la destruction de l’environnement et la disparition des écosystèmes, entre autres impacts. Il n’en est rien. 

Tout ce que fait cette société minière dans cette zone d’exploitation d’une superficie de 544 Km2, est encadré avec les services de l’État, surtout la Direction des eaux et forêts. Ce qui nous permet de dire sans risque de se tromper qu’elle est l’une des rares entreprises minières au Sénégal qui réhabilite en même temps qu’elle opère sur les terres. Cette entreprise est très vigilante pour faire en sorte que cette réhabilitation puisse répondre à toutes les normes demandées par le gouvernement du Sénégal, tout en étant ouverte. 

La Preuve ? elle vient de restituer 85 ha déjà réhabilité et restitués à L’État du Sénégal. Et 1 000 autres ha réhabilités attendent à leur tour d’être restitués. Ce qui fait un total de 1 085 ha à restituer dans un bref délai au à l’État sénégalais, ce qui est salutaire. Parce que dans ces zones, non seulement les sols ne sont pas très riches, mais après exploitation toute la végétation qui y était est reconduite, mais aussi la fertilité du sol est même améliorée avec l’utilisation de la fumure. Il arrive même dans certains sites, sur la demande des populations de la zones de restauration des Niayes, que des plantes économiquement bénéfiques soient introduits, comme l’anacarde où aujourd’hui tout le monde connaît la valeur nutritive de ces noix appelés noix de cajou. 

Selon le Directeur général de Gco SA, Frédéric Zanklan, plusieurs études ont montré que le nombre d’arbres obtenus après leur passage est quatre à cinq fois supérieur au nombre d’arbres qu’ils avaient avant. Et ça, grâce à l’amélioration de la constitution physico-chimique. Cet excellent travail réalisé avec l’aide de trois Groupement d’intérêt économique (Gie) des localités environnantes qui les revendent, la fumure et deux établissements ont permis de restaurer toutes ces terres. 

 La faune, la flore et le pâturage présents  

Après la restauration des sites, la faune qui était détruite est revenue, de même que pâturage permettant aux éleveurs de faire paitre leurs animaux domestiques. Selon Dr Ramata Talla, écologiste-environnementaliste, plus de 30 espèces d’oiseaux constitués pour la plupart d’oiseaux marins sont visibles. « Des hyènes ont été même aperçus dans la zone dunaire déjà réhabilitées », explique-t-elle. L’eucalyptus qui pousse vite et fixe le sol est souvent recommandé dans ces zones. Parce que, dit-il, « leur croissance est assez rapide et quand ça croît vite, ça peut contribuer aussi à fixer le sol pour que d’autres espèces puissent aussi se mettre aux alentours». 

Ainsi, la réhabilitation de ces sites déjà exploités est un exemple concret de l’engament de Gco en faveur de l’environnement. Pour elle, seuls 3 000 m2 de terres agricoles ont été impactés par le projet. Ce qui veut dire, selon elle, que le maraîchage qui occupe 80 % des besoins en légumes du Sénégal n’est pas détruit. 

 Les quatre produits extraits du sol

 Après extraction, traitement et séparation du sable par l’usine, il en ressort quatre produits divisés en deux familles : les produits titanifères (ilménite, rutile et leucoxène) et le zircon plus connu par les sénégalais, du fait de sa valeur marchande. La rutile quant à lui, contribue à la stabilité thermique et est résistant aux métaux fondus. Les produits titanifères, qui représentent 90 % de la production sont destinés principalement au marché des pigments (peinture, plastique, papier etc.) et de la soudure.

Le zircon, qui ne représente qu’environ 10 % de la production, est notamment destiné au marché de la céramique. Pour le Directeur général de Gco SA, sur 1 tonne de sable traité c’est 1,5 Kg de Hmc qui en ressort pour ensuite être amené à l’usine pour en ressortir ces quatre produits. «Pour la seule journée du lundi, 85 000 tonnes de sable ont été pompées pour 38 000 tonnes de Hmc», a-t-il déclaré.

Cette production a permis à la société d’être le 4èmeproducteur mondial de matières premières titanifères, 4ème producteur mondial de zircon, 1ère mine à enclencher un processus de restitution des terres, 121.6 milliards de francs CFA de contributions nationales en 2024, et 5ème contributeur minier au budget de l’État. 

 587 maisons construites sur les villages de recasement

 Dans le cadre de la Responsabilité sociétale d’entreprise (Rse), les villages déplacés pour l’exploitation minière ont pu bénéficier d’infrastructures sociales de base dans les quatre villages de recasement. C’est ainsi que 587 maisons ont pu être construites à leur bénéfice. Le village de Diourmel bénéficie à lui seul de 222 maisons pour 30 familles.

À part ces maisons, des infrastructures (écoles, postes de santé, mosquée) ont été construites pour le bien-être des populations. Sur le recrutement de la population locale, 2 900 personnes travaillent chez Gco SA dont 35 % proviennent du bassin local. Mais, des activités économiques ont également été reconstruites pour les femmes et les jeunes.

Au niveau scolaire, une cantine est offerte par la société minière pour favoriser la scolarisation des enfants surtout les jeunes filles. Comme une mine a une durée de vie, un Projet appelé BION a été créé à hauteur de 1,6 million d’euros pour soutenir les femmes. Tout cela, montre à suffisance la main tendue de Gco SA à ces populations pour leur bien-être. 

 

Tags: ErametEtatGco SAIMPACT ENVIRONNEMENTALLompoul
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