Après avoir salué la libération de Pape Alé Niang, la coordination des associations de presse se fixe de nouveaux objectifs. Désormais, l’heure est à la seconde phase du combat : l’annulation des charges fantaisistes et politiques qui lui ont valu plus de 60 jours de captivité », informent Ibrahima Lissa Faye et ses camarades. Ils ont également salué le travail abattu par Reporters Sans Frontières (RSF), la Fondation des Médias pour l’Afrique de l’Ouest (MFWA), «pour leur engagement – au plan national et international – et leur soutien financier pour que notre confrère recouvre sa liberté de mouvement. Tout comme Amnesty Sénégal qui a abattu un travail de titan aussi à l’instar des autres organisations ».