«Au sein de Pastef, nous constatons que nous sommes en sursis. Lorsqu’on dénonce des injustices, on se sent persécuté voire arrêté par les forces de sécurité. Ce qui n’est pas normal», fait savoir le cordonnateur du programme Weer Ndombo. Occasion qu’il saisira pour taper sur la table : «Nous nous saisissons de l’occasion pour alerter l’opinion nationale et internationale que cette situation ne va pas perdurer. Nous allons faire face parce que trop c’est trop. Nous allons mettre fin à cela». Dans ce sillage, ils ont appelé les populations à se joindre à ce programme Weer Ndombo.