La députée Amy Ndiaye a soldé les comptes avec ses détracteurs à l’Assemblée nationale. «C’est ici dans cet hémicycle qu’on m’a accusée d’adultère en sous-entendant que mon mari n’était pas le père de l’enfant qui se trouvait dans mon ventre au moment de mon agression physique», fait savoir la parlementaire, qui estime que devant de telles insinuations, la justice doit sévir et de la meilleure des manières. Elle a demandé au ministre de la Justice de prendre des mesures afin que cessent ces violences verbales.