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CÉLÉBRATION DE LA JOURNÉE MONDIALE DES DROITS DE L’HOMME : Le Collectif des impactés du TER de Dakar demande toujours une réparation

amina by amina
décembre 11, 2024
in Actualités, Economie
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CÉLÉBRATION DE LA JOURNÉE MONDIALE DES DROITS DE L’HOMME : Le Collectif des impactés du TER de Dakar demande toujours une réparation
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Le Collectif des impactés du projet Train Express Régional (TER) du département de Dakar, a célébré le mardi 10 décembre 2024 la journée mondiale des droits de l’homme par un grand rassemblement. Ils interpellent la Banque Africaine de Développement et le gouvernement pour le règlement définitif du préjudice subi.

Par Massaër Dia

Mme Fatou Dione, présidente des impactés du TER dans le département de Dakar, a affirmé : « C’est aujourd’hui 10 décembre, la journée mondiale des droits de l’homme, nous la célébrons à notre manière. Le projet Express régional, nous a causé beaucoup de difficultés. Ils ont violé nos droits à travers ce projet. Quand on parle de droit humain, cela renvoie à une habitation décente, ça renvoie aussi à un lieu de travail adéquat où la personne peut tirer de revenus pour subvenir aux besoins de sa famille. Les droits humains renvoient aussi à une bonne éducation des enfants, à des structures de santé répondant aux normes, c’est ce que le projet du train Express régional nous a privé ». Elle poursuit : « C’est la raison pour laquelle nous nous sommes réunis pour célébrer la journée mondiale des droits humains à notre manière pour dénoncer les droits que le projet nous a privés. Il temps à ce que nos gouvernants, en mettant en œuvre ces genres de projet, pensent aux populations. Il faut aussi que la Banque Africaine de Développement en finançant ces types de projet, pensent aux populations en les impliquant dans les instances de décision parce que ce qui s’est passé avec le projet du TER, doit constituer un enseignement car plus de 2000 familles sont impactées ».

 Elle estime que ces familles ont tout perdu à cause du TER. Et Depuis 2019, ils font la navette entre la BAD e, l’AFD et L’état du Sénégal. « Il y a eu une médiation mais, c’est voué à l’échec. Il y a aussi un rapport de conformité est sorti en prouvant qu’il y a non-conformité et nos droits ont été bafoués. Il y a aussi un plan d’action avec 18 recommandations et plus une décision pour une réparation du préjudice qu’on nous a causé », renchérit Mme Fatou Dione.

 Le collectif interpelle le Président de la République pour régler ce problème.  « Aujourd’hui beaucoup d’impactés stressés, meurent. Le projet a détruit nos maisons, dispersé nos familles. Nous invitons l’Etat et la Banque Africaine de développement à appliquer le plan d’action. D’ici peu de temps, nous allons rencontrer les autorités de la BAD, dans le cadre de son suivi annuel. C’est un moment privilégié pour la Banque de voir si les recommandations ont été bien suivies par le gouvernement. L’Etat n’a encore rien fait parce que depuis que le plan d’action est sorti, nous avons eu deux rencontres avec l’APIX. La première rencontre, c’était au site de recasement des impactés à Lac Rose, là on a eu une déception parce que les impactés de la région de Dakar sont écartés des recasements et la deuxième rencontre, c’est le directeur de l’Apix qui nous avait reçus, et a dit que c’est la Banque qui est maître d’œuvre. Nous attendons de cette rencontre qu’on nous donne des terrains », conclut Mme Fatou Dione.

Quant à M. Mohamed Faye, représentant des jeunes impactés du TER : « Nous attendons de la BAD une réparation du préjudice subi. La plupart des jeunes ont abandonné l’école à cause de ce projet. C’est à partir des revenus de la location de ma maison que je parvenais à payer mes études mais le projet nous a expulsés de nos maisons. Et n’ayant plus de maison à louer, j’ai abandonné les études. Nous sommes expulsés de nos maisons sans relogement. Et nous pointons du doigt l’Apix ». M. Issa Diop, fleuriste a affirmé : « Le projet m’a causé beaucoup de tort. Il a détruit mes 2800 cocotiers, 700 filaos, 300 mètres de gazon, deux puits estimés à 200 000 F CFA. J’employais 10 personnes payées à 2500 F par jour ».

 

Tags: JOURNÉE MONDIALE DES DROITS DE L’HOMMETER
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