Dans l’exercice de leurs fonctions, des journalistes ont été tous brutalisés. Selon le Synpics, «Ces exactions sont indignes de forces de défense et de sécurité en charge d’une mission de service public et qui dans un pays normal veillent en sus à la sécurité des journalistes déployés pour eux couvrir l’actualité». Le Synpics exige l’identification et la sanction à hauteur des actes commis.