Bénéficiant d’un retour de parquet, le secrétaire national à la communication de Pastef risque une instruction et un mandat de dépôt. Le parquet dans son réquisitoire introductif a sollicité l’ouverture d’une information judiciaire en visant les infractions de diffusion de fausses nouvelles et actes ou manœuvres de nature à compromettre la sécurité publique. Après avoir bien écouté l’audio en question, les gendarmes-enquêteurs ont confié au journal qu’El Malick aurait taxé certains responsables politiques de voleurs tout en précisant que le président de la République avait donné à chaque député la somme de 100 millions pour les inciter à voter la loi en vue.