Antoine Félix Diome, a expliqué les raisons de cette situation. Selon lui, il s’agit d’un dysfonctionnement volontaire à des fins préventives.Il a été constaté sur les réseaux sociaux la diffusion de messages haineux et subversifs. L’État du Sénégal, dans l’exercice de sa souveraineté, a donc décidé de suspendre temporairement l’utilisation de certaines applications numériques qui sont utilisées pour inciter à la violence et à la haine”, s’est-t-il justifié lors de son face à face avec les journalistes. Antoine Félix Diome a également adressé un message aux entreprises de presse concernant le traitement de l’information : “Nous rappelons aux médias l’importance de respecter le code de la presse, qui permet à l’autorité administrative de prévenir ou de mettre fin à toute atteinte à la sécurité de l’État, à l’intégrité du territoire national ou à toute incitation à la haine.